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M

la petite citation

qui fait

grave du bien dans le kokoro

Mayaku

Mayaku, l’idyllique ville nippone, n’est plus. Les guerres de gang, l’avidité et la convoitise du pouvoir, la folie et les flammes, ont tué ce paradis. Et bientôt, ça sera votre tour.
 
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Grand Corbeau, sa fumée compose les signaux. Ethel Staley.  Empty Grand Corbeau, sa fumée compose les signaux. Ethel Staley.

Dim 5 Mai - 20:30

       

     

ETHEL STALEY

“Tout finit toujours par se savoir. Plus tu essaies de me cacher tes petits secrets, plus ils paraissent gros comme le monde."

       
 
Quartier
OUEST

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Surnom :Eseru
âge : 30 ans
genre : Féminin
orientation : Bisexuelle
métier : Membre du CA « Corbeau » de Hisho
origines : Anglaise







- Je n'ai jamais aimé le rose. Je préfère la noirceur de l’ecchymose. Le rose est condamné à mourir. Comme une fleur qui doucement laisse ses pétales s'ouvrir et flétrir.

Ethel voit la vie en noir et blanc. Elle est composée de choses belles, blanches pures, saines. Ce sont les choses qui n'ont pas encore été impactées par l'Homme, sauvées et temporairement veines.  Le reste de l'existence sur Terre n'est que nuances de gris, noircies par la pourriture humaine. Colères, frustrations, orgueil, envies et haines. Par la douleur elles sont nourries, les échecs, les douleurs. C'est ce pourquoi les gens survivent, bouffés. Ils ne vivent que de remords et regrets et c'est ce avec quoi Ethel a décidé de jouer.

Ethel écoutera chacun de vos pleurs. Ethel est là pour ça. Cependant, il est certain qu'elle s'en servira. Les bleus laissés sur la peau sont son remède. Elle vous proposera sans doute son aide. Son nid fait office de lieu chaleureux. Or ne laissez rien traîner, elle risque de dévorer vos œufs. Charogne, elle profitera de chacun de vos morbides et sales aveux. Tortures, mensonges, manipulation, séduction, offrandes, et corruption. Pour la noire, tout est bon pour obtenir des informations.

Ethel aime jouer. Elle fait avancer ses pions charbonneux sur l'échiquier. La malice dévorant chacun de ses faits. Elle aime de ses airs félins marquer les personnes. Délier les langues et les baisers coincés, faire ressortir les vices les plus cachés. Ses ongles tapotent sur les meubles, elle fait régner l’autorité.

Ethel sait se faire respecter. Droite, carrée. Cependant, elle n'est pas si antipathique qu’elle en a l’air. Dotée, de compréhension malgré sa sombre esthétique et ses sombres pratiques. Elle peut sembler glaciale et impartiale, mais si elle vous porte dans son cœur, elle fera le meilleur pour vous épargnez vos plus sombres douleurs. Vous serez à l’abri de tout vos mœurs. Ouvrez lui seulement votre cœur, le corbeau ne mange pas les derniers battements, les dernières lueurs.



Disciplinée. Peut se montrer très patiente, comme très impatiente selon son humeur. Concentrée. Réfléchie. Prudente. Prévoyante. Stable. Moralisatrice. Aime taper à la où ça fait mal. Légèrement sadique. Calme. Mesquine. Cruelle. Sceptique. Joueuse. Secrète. Puissante. Charismatique. Magnétique. Passionnée. Obstinée. Intense. Têtue. Envieuse. Jalouse. Dissimulatrice quand il s'agit d'elle même. Curieuse. Cérébrale. Capricieuse. Touche à tout. Analytique. Pointilleuse. Parfois bavarde. Discrète. Concrète. Calculatrice. Agaçante. Esthète. Raffinée. A l’écoute. Protectrice avec sa chaire. Malicieuse. Observatrice. Exigeante. Taquine avec ses proches. Au fond, sentimentalement fragile. Ordonnée.

Elle aime les jeux en tout genre. Autrefois dépendante, elle a beaucoup joué à des jeux d’argent mais aujourd’hui s’est calmée. Elle se concentre alors sur les jeux de cartes, les jeux de société, ou le poker sans pour autant miser sa fortune. Elle fut aussi une grosse droguée. Or, elle ne consomme plus rien aujourd'hui si ce n'est que de l'alcool avec modération (on y croit).
Elle fumait beaucoup avant. Elle essaie d’arrêter, mais ne peut s’empêcher de s’en griller une quand elle se sent trop amer. Il lui arrive de regretter par la suite, ce qui va la pousser à fumer encore plus.
Enfant, elle jouait du piano. Elle aurait préféré finalement jouer d’un instrument purement à corde comme la contrebasse, le violon ou l’alto.
Elle adore la plage, l’odeur iodée, et la sensation de l’air marin sur sa peau.
Elle collectionne les vinyles et écoute beaucoup de musique. Elle possède par ailleurs quelques jolies peintures.
Elle adore l'odeur du feu de bois, du savon.
Elle ne supporte pas la chaleur.
Elle possède une légère et discrète cicatrice sur la lèvre qu’elle cache sous son rouge à lèvre.
Elle ne supporte pas que quelqu’un ou quelque chose lui soit inaccessible. La frustration la rend de plus en plus capricieuse.
Elle fait très attention aux petits détails.
Physionomiste, elle a une très bonne mémoire des visages.


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Une peau pâle, froide, légèrement marbrée, translucide... Il réside un contraste marqué entre sa peau et ses cendrées tenues. Elle ne cache pas sous le noir pour autant ses attributs. La jeune femme n’a encore aucune ride. Sous ses vêtements noirs, se dessinent des courbes féminines. La couleur du vin baigne sur ses babines. Elle prend soin de son esthète, son insuline. C’est une de ses doctrines. Il faut savoir se vendre, le physique peut jouer il ne faut point se méprendre. Perchée sur ses talons, elle toisera l’adversité de son regard imposant, directe, presque provocateur. Bien qu’avec sa fine corpulence, elle ne semble prédateur. Couverte d’argenterie, elle a l'air toujours calme, posée. Peu de gens arrivent à soupçonner son passé, ses tourments, sa mesquinerie cachée. Quelques sourires en coin, discrets, taquins... Or, elle n’est pas toujours des plus expressives, mais lorsque l’on réussit à attirer sa curiosité, sa passion, son intérêt, les émotions peuvent partir et couler, s’échouant à la dérive.



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toi
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1. DÉTRUIRE POUR PROTÉGER

Longtemps dans l’ombre
À la lumière, jamais je ne sombre.
À l’écoute, dans mes songes
Je percevais chacun de leurs mensonges.
J’étais une enfant sage, dans la réserve.
J’avais ce que je désirais à peine je bougeais les lèvres.

Tous les petits secrets de mon père, ses manigances envers ma mère, je les gardais en mon coeur.
Je n’en parlais pas, mais cela présageait une grande douleur.
Les genoux écorchés, les vêtements à la sortie du bureau débridés, les femmes ne venaient pas que pour travailler.
Elles visaient les augmentations, soulevaient avec imprudences leurs jupons.
Mon père lui n’était qu’un homme faible qui jurait uniquement par les conquêtes et les addictions

J’avais déjà dix ans et restait aveuglée par la peine de voir ma mère trompée.
La seule autre femme que je tolèrerais était une d’une beauté sans pareille.
Elle n’était que convoitée par ma personne.
C’était seulement une de nos bonnes.
Une jeune femme qui passait son temps avec moi quand elle n’était pas en train de travailler.

Dans cette trop grande maison aux pièces qui résonnaient, les secrets et les messes-basses sifflaient, les talons claquaient à pas d’heure dans les couloirs.
Pour la première fois, j’ai fait chanter les violons, je n’avais plus aucun espoir.
C’était à son tour de me quitter pour passer à l'abattoir.
Mes pensées furent aussi sanglantes que la lame du rasoir.

Quelque temps plus tard,
Tout le monde dans la grande pièce du manoir.
Chaque trahison lors d’un soir fut dévoilée au dîner,
En accompagnement, j’avais ramené les preuves de tous les méfaits.
Le silence pendant quelques secondes avait régné.
Puis des cris, les engueulades, j’avais créée le chaos au sein même de mon propre foyer.
Je n’ai fait que mettre mon père en face de sa propre vérité.
J’en savais simplement trop. Il n’a pas assumé.
Ma génitrice deux mois après la nouvelle fut décédée comme achevée par la funeste nouvelle.
Je ne crois jamais avoir fait le deuil en parallèle.

2. DÉTRUIRE POUR MIEUX RÉGNER

Oiseau noir déporté de Blackpool.
Migrée à l’étranger de force.
Dans un sentiment, je m’enroule.
Je n’avais le droit à la moindre entorse.
Aux États unis, les anges m’ouvrirent leurs bras.
Ici, rien n’était assez délicat.

Je voyais les filles qui s’habillaient avec leurs habits d’été,
Les garçons avec leurs musculatures qui forçaient,
Tandis que je m’efforçais de rester dans la sobriété.
Superficialité de l’adolescence, je fis de nombreuses découvertes.
C’était l’époque des baisers langoureux dégueulasses la bouche entrouverte.
C’était l’époque des cours, des règlements, des dissertes.
C’était l’époque des premières caresses non expertes

La popularité s’effectuait par la soumission.
Il y avait les prédateurs, les proies, et les moutons.
Ces derniers étaient mes préférés.
À suivre bêtement pour tout simplement se faire accepter,
Ils ne pouvaient supporter leur immonde personnalité.
Ils essayaient de copier, métamorphes, pour s’intégrer.

Un journal dans mon établissement était renommé.
Je me tenais au sommet, avec l’élite
Toutes choses devenaient de suite explicites.
J’avais gravi peu à peu les échelons,
Toujours affamée par les masques et trahisons.
Je n’étais pas très appréciée, car je savais où blesser.
Tout le monde ne jugeait pas bonne mon honnêteté.

J’avais mon escadrille,
Un grand gang, une famille,
Le groupe de jeunes fêtards qui vacillent.
Une volée de drogués à la mode,
Quelques volatiles brisant les codes.

3. DÉTRUIRE POUR SAVOURER

Arrivée au Japon,
Arrivée d’une toute nouvelle situation.
Cependant, les débuts de l’âge adulte furent plus rudes.
C’était le début des années d’études.
J’avais choisi le journalisme,
Comme mon père, j’allai être enfermée dans un prisme.

Peu à peu, les addictions vinrent me prendre en grippe.
Le jeu, les drogues, le sexe me prenaient aux tripes.
Elles étaient là, cachées, sous le tapis
Me coupant de mes heures de sommeil, de mes nuits.
J’étais cernée, des études j’étais peu à peu coupée.

Du poker, je prenais régulièrement ma dose.
Je narguais, je mens je bluffais, j’en impose.
Pour moi, rien n’était anicroche.
De nombreux hommes j’indisposais.
Pour de nombreuses lèvres, je composais.
Mes poches étaient largement remplies,
Dans ce monde sombre, je me sentais assouvie.

J’étais devenue ce que je détestais.
Une créature avide de danger.
Caricature de mon père,
Sombre et venimeuse vipère,
De la médaille j’allai voir peu à peu le revers.

Les problèmes tombèrent.
Ma santé me fit faux bond.
Aux jeux, je perdis un peu de mon don.
J'abusais des drogues, de consommations.
L’argent se faisait donc bien moins présent,
Par ailleurs, je fuyais l’enseignement.

Je vis alors la vraie face des gens.
Ils ne m’aimaient pour la personne que j’étais.

Je n’étais qu’une personne à dépouiller, humiliée.
Une de ces riches chiques et capricieuses.
Désarmée, je tombais, sombrée, telle une simple pisseuse.
Les femmes qui me tournaient autour visiblement n’avaient plus faim.
J’ai alors pris conscience qu’on ne m’avait jamais vraiment aimé.
Par leurs mensonges je fus durant quelques années aveuglées.
Ici, il n’y avait pas les anges divins, mes collègues américains.
Il n’y avait qu’imposteurs, menteurs, bons à rien.

Je n’avais seulement que le pouvoir entre mes mains.
Mais aux yeux de tous, je n'étais devenue qu’un rien.
Pour eux, j’étais enfouie en enfer, bien bas.
Mon niveau dans tous les domaines n’était plus si bon que cela.
Il était alors temps de me venger.
Bien qu’il m’était difficile de voler.
Je me sentais arnaquée.
Il était hors de question de ne pas riposter.

4. DÉTRUIRE POUR CRÉER

Le journalisme il était temps de regagner.
L’amour que je portais s’était liquéfié en un poison.
Mes lèvres en étaient imprégnées.
De leurs carcasses j’allai me délecter.
Sur ma nuque à chaque ragot, je sentais les frissons.
L’argent que j’avais perdu peu à peu revenait.
Plusieurs agences je gérais, avec fièvre et facilité.

Sur toutes les personnes qui m’ont rejeté, j’ai fait s’abattre le ciel.
J’ai fait couper leurs langues à l’aide de sentinelles.
Les fiers et orgueilleux eurent leurs péchés dévoilés.
Les cachotiers eurent leurs secrets amplifiés et criés.
Les plus difficiles à cerner eurent seulement le droit à crever.
Je voulais tout savoir, je voulais les noyer.
Comme la mer, je les poursuis vague après vague pour les ronger.

Toujours plus, c’est ce que je désirais.
Des nouvelles je me délectais.
J’avais pris goût au massacre.
Je suis d’avis qu’il fallait tout brûler à l'armagnac.

Avec moi, j’ai rameuté les personnes qui n’ont rien à perdre,
Les vengeurs, les rejetés, les perdus, les affamés, les enragés,
Je leur ai offert quelques objets, quelques miettes pour se rassasier.
Les bras tendus, les mains sales et abîmées,
Ils me plaisent bien qu’atrophiés,
Ils sont à présent une nouvelle famille,
Un groupe de personne sans morale, versatile.
Des braves soldats à protéger.
Des blessés des claques la vie, mes guerriers.
Ils savent tous que je suis là pour les écouter.
Ils savent sur moi qu’ils peuvent compter.

Je suis aujourd’hui Corbeau,
Je ne cherchais que la paix,
De la colombe je me suis éloignée.
Le simple respect, tout savoir, la vérité.
Soyez seulement honnête, et je vous laisserai.
Je ne suis pas mauvaise, juste par ma propre noirceur piégée.


fem!Bruce © snackage.tumblr.com by Antide


Dernière édition par Ethel Staley le Dim 12 Mai - 0:18, édité 8 fois
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Grand Corbeau, sa fumée compose les signaux. Ethel Staley.  Empty Re: Grand Corbeau, sa fumée compose les signaux. Ethel Staley.

Dim 5 Mai - 21:43
Hey petit corbeau ! <3
Ta fiche est encore toute blanche, mais j’aime bien ta parure noire.
Toi, et moi, on va faire un malheur.
Hisho will rule this f-town <3

Bienvenue <3
Anonymous
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Lun 6 Mai - 22:04
Hellow ♪

J'ai très très hâte de voir ce que ce personnage va donner. Tu m'as montrée pas mal d'illustrations et j'attends de voir comment tu vas en user pour qu'elles correspondent à ton oiseau. A moins que tu ne choisisses de modeler ton corbeau pour te conformer aux apparences ?

Dans tous les cas, bienvenue :hearts:
Anonymous
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Grand Corbeau, sa fumée compose les signaux. Ethel Staley.  Empty Re: Grand Corbeau, sa fumée compose les signaux. Ethel Staley.

Lun 6 Mai - 23:09
Merci à vous deux !

Douce et sage chouette.
Peu à peu, elle se noircit. Prends le temps de venir caresser ma fiche de ton regard, comme tu le fais si bien pour mon plumage.
J'ai bien peur que tes désirs avec moi soit asservis.
Hâte de voir les dégâts, à tes côtés, que nous allons créer.
Hisho sera la plus belle oeuvre jamais crée, chaotique, mais magnétique...


Je me suis énormément inspiré de l'animal. Le corbeau est un animal très intelligent, mais il fonctionne beaucoup avec ses pairs. Bon, il semble un peu dégoûtant comme ça, mais au fond il est très joueur et empathique. L'animal est vraiment intéressant, après je l'ai toujours tourné à ma sauce... J'espère qu'elle plaira !

Morgan Marshall
Morgan Marshall
Quartier Nord
Joué par : Morden
Présentation : http://www.mayakurpg.com/t56-morgan-marshall#106

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Mer 8 Mai - 17:32
    Ethel, bienvenue encore!

    Bravo pour ce début de présentation. Il y a du caractère dans tes phrases, un réel style dans l'écriture. Bon choix de personnage à incarner aussi. Avec Anémone, vous allez envoyer du lourd. ça promet. :hearts:

    N'hésite pas si tu as la moindre question et prend le temps qu'il te faut pour la réaliser!

    Au plaisir de lire la suite.
Yumi Shinogaï
Yumi Shinogaï
Quartier Nord
Joué par : Yumi
Présentation : https://mayakurpg.forumactif.com/t60-shinobu-gai-yumi

Grand Corbeau, sa fumée compose les signaux. Ethel Staley.  Empty Re: Grand Corbeau, sa fumée compose les signaux. Ethel Staley.

Dim 12 Mai - 0:26
Me voici, me voilà. . .

Bienvenue, encore une fois à toi Ethel. :hearts:

Je n'ai pas grand chose à dire face à la qualité de ta fiche et pour tout dire, tu es clairement validé.
Je ne suis pas celle qui s'occupe de Hisho, mais je sais que cette fiche est parfaite. Il n'y a rien à redire, tu peux te reposer maintenant ! ♫

Bien ouej. Ethel est un personnage que je veux, rencontrer. :hearts:
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