L'horizon pleure à nouveau de disparaître, laissant à contrecœur, place à la nuit. Une nuit tombante, pesante au-dessus d'un brouillard gris qui ne s'était pas éclairci, au contraire. Faisant de l'obscurité, une prison oppressante presque asphyxiante. Une nuit parfaite pour parfaire un meurtre. Une nuit que je ne pouvais qu'adorer.
Vêtu, d'un long manteau noir et d'un masque cachant mon visage, je me lançais à la poursuite de ma proie, m'enfonçant dans une ruelle sombre et chaotique. Une ruelle étroite longée par des hauts murs sinistres d'entrepôts vides, abandonnés. L'endroit n'était pas rassurant, plutôt flippant. Un coin sombre, garni de poubelles renversées laissant s'échapper une odeur infecte.
Des voix et des gémissements vinrent briser ce silence presque religieux. L'irréparable venait d'être à nouveau commis. À mes pieds, se trouvait le corps sans vie d'un homme. Ce même homme qui avait déjà tué et violé trois femmes, sans en être inquiété. Ce même homme qui avait fait l'erreur de me rencontrer. Celui-là même qui, maintenant, gisait sur le bitume, la bouche entrouverte, salivant par le manque évidant d'air, les yeux révulsés par l'acte brutal. Le même acte qui provoqua sa mort.
Je l'éviscère recherchant de quoi remplir mon ventre. Rein, foie, cœur, n'importe quoi ferait l'affaire. Mais, dans mon imprudence et ma précipitation, je n'avais pas ressenti cette présence maintenant tout près de ma personne. Je me relève de mon immensité pour lui faire face. J'arque un sourcil à la vue de notre intruse. Vous !?
Vêtu, d'un long manteau noir et d'un masque cachant mon visage, je me lançais à la poursuite de ma proie, m'enfonçant dans une ruelle sombre et chaotique. Une ruelle étroite longée par des hauts murs sinistres d'entrepôts vides, abandonnés. L'endroit n'était pas rassurant, plutôt flippant. Un coin sombre, garni de poubelles renversées laissant s'échapper une odeur infecte.
Des voix et des gémissements vinrent briser ce silence presque religieux. L'irréparable venait d'être à nouveau commis. À mes pieds, se trouvait le corps sans vie d'un homme. Ce même homme qui avait déjà tué et violé trois femmes, sans en être inquiété. Ce même homme qui avait fait l'erreur de me rencontrer. Celui-là même qui, maintenant, gisait sur le bitume, la bouche entrouverte, salivant par le manque évidant d'air, les yeux révulsés par l'acte brutal. Le même acte qui provoqua sa mort.
Je l'éviscère recherchant de quoi remplir mon ventre. Rein, foie, cœur, n'importe quoi ferait l'affaire. Mais, dans mon imprudence et ma précipitation, je n'avais pas ressenti cette présence maintenant tout près de ma personne. Je me relève de mon immensité pour lui faire face. J'arque un sourcil à la vue de notre intruse. Vous !?