Nom complet : Winnie Lenox O'Connor
Âge : 24 ans
Quartier : Sud
Métier : Professeur d'Histoire Géographie
Origines : Irlando- cubaine
Crédit avatar : https://fr.pinterest.com/pin/451697037608091387/
Âge : 24 ans
Quartier : Sud
Métier : Professeur d'Histoire Géographie
Origines : Irlando- cubaine
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Personnage
Aspect physique : Ce matin je me réveillai une fois de plus en ayant de rêver de toi, et ce, même si les choses étaient claires entre nous, je ne devais plus m'approcher de toi, et tu me l'avais bien fait comprendre. J'avais malgré tout rêvé de cette nuit-là, de ton corps, innocent, à quelque pas du mien, de tes pieds et de tes mains, que j'avais toujours crues fait pour danser, et de ton corps si gracieux, se balançant doucement pour se réchauffer. J'aimais observer tes courbes singulières, merveilleusement proportionnés, et ta taille, si marquée, qui me faisait perdre la tête. Nous étions sur les toits, toi, à quelques pas devant moi, observant avidement la ville et ses lumières, j'embrassais alors encore une fois tes courbes du regard comme si c’était la dernière fois que je les voyais, m’arrêtant quelques instants sur la base de ton tatouage sur le bras droit. Tes locks se balançaient légèrement au rythme de ton corps, chatouillant la naissance de tes fesses, tu m'arrachais à cette contemplassions en faisant volte-face et ton visage doucement illuminé par la pleine lune m'avait paru encore plus beau, un doux mélange de traits durs forgés par l'activité incessante de ton cerveau, et de contours enfantins. Ta peau dorée dut à tes origines, tes yeux noisettes en amande, ton nez fin, et tes lèvres charnues qui m'avaient souries dévoilant des dents d'une blancheur immaculée, m'avaient faits craqués une fois de plus, je t'aimais.
Description psychologique : J'étais ton aîné de six ans, et par-dessus le marché, psychologue, mais je n'avais jamais su te percer à jour comme toi tu l'avais fais. Plus tard tu m'avais avoué que tu lisais en moi comme dans un livre ouvert depuis le premier regard, encore aujourd'hui je ne comprenait pas comment tu faisais cela, sans doute ton esprit d'analyse, ou peut-être cela était une qualité de plus, des gens dotés d'un QI de plus de 130. Cependant j'avais très vite remarqué que tu étais obstinée, ou plutôt têtu et que tu te donnais corps et âme dans ce que tu faisais. Tu étais une pile électrique, un électron libre, qu'on ne pouvait restreindre. Et malgré ton goût prononcé pour les sensations fortes, tu avais ce côté artiste, bohème, sûrement dû à tes nombreux voyages, d'ailleurs un mur entier de ton appartement était consacré à des cartes postales, et souvent tu t'asseyais devant celui-ci à même le sol et tu y restais des heures. J'ai toujours su que sous ta carapace tu étais sentimentale même si tu ne le montrais jamais, sûrement trop abîmé par la vie pour être faible. Tu ne laissais à personne entrevoir ton vrai toi, et c'est ce qui faisait ton charme, ce mystère incessant, ces sourires dont toi seule tu avais le secret, et cette attitude chaleureuse et rassurante qui émanait de ton être.
Histoire
Apprendre ton passé m'avait fait comprendre ton présent, mais cela m'avait aussi valu de te perdre, je me souviens encore de ce jour c'était il y a exactement un an et trois mois. Quelques jours aux parts avant j'avais pris contacte avec ta mère grâce à un numéro trouvé dans ton capharnaüm, je savais que ce que je faisais était mal, tu ne m'avais jamais réellement parlé d'elle et tu semblais n'entretenir aucun contact avec celle-ci mais c'était plus fort que moi, j'avais soif de te connaître. Elle c'était alors gentiment déplacée jusqu'à mon appartement, d'ailleurs je n'avais jamais songé qu'elle puisse habiter notre pays et encore moins la même ville que nous. Mais elle était belle est bien la dans mon salon une tasse de café à la main observant les lieux. Elle avait cette même élégance que toi, cette grâce naturelle dans chacun de ses gestes et sa voix sucrée affublée d'un léger accent m'avait compté ton passé comme si j'y étais.
Doux fruit d'une union entre un avocat irlandais et une actrice cubaine, tu étais leur vœux le plus cher et leur plus beau cadeau, à leurs yeux tu étais unique d'où ton nom peu commun. Par la suite il s’avéra que ta différence n'était pas que dans la tête de tes parents en effet, dès ton plus jeune âge tu manifestas tous les signes d'une enfant surdouée, tu ne supportais ni l'école, ni les gens de ton âge, tu passais ton temps à courir partout, à faire des cascades comme le dis si bien ta mère, et à lire. Oh lire c'était ta passion et c'est toujours le cas, elle te permet de t'instruire, en effet tu as toujours lu dans le but d'apprendre et tu avais déjà semblerait-il le même engouement pour les livres d'histoire et la même manie de faire la moue quand un passage te plaisait.
Mais tout n'était pas rose dans ta petite famille, lors de ton septième anniversaire ta mère t’abandonnât et tu resteras sans nouvelles d'elle pendant plus de deux ans, aujourd'hui elle se justifie par sa carrière et par son insouciance de l'époque. Ta mère refit ensuite surface et réclama ta garde alors l'enfer commença, tu passais ton temps dans les avions entre ta mère et ton père qui déménageaient sans arrêt, tu restais seule ou entourée d'adulte. Ainsi au fil des années tu te renfermas ne supportant plus d'être différente, ni de passer en second plan, après la carrière de tes parents.
Alors à 15 ans tu demandas à t'installer avec ton père en Russie et tu commenças à gagner de l'argent comme tu pouvais sans éveiller les soupçons de tes parents, tu avais entendu parler dans le journal des courses illégales et de leurs gros profits, tu te lanças ainsi dans le milieu que ce soit en voiture ou à moto. Et tu excellais dans cette discipline en effet le goût du risque mélangé à tes calculs de trajectoires faisait de toi un pilote incroyable même si la voiture et la moto de ton père n'étaient pas les plus rapides, tu gagnais souvent, et c'était grisant, te permettant de t'échapper quelques instants et d'être reconnu pour ton talent. Un an à pratiquer, ainsi qu'à t'essayer aux combats de rue avant de passer ton bac en candidat libre avec brio. Avec tous ses atouts en poche tu décidas de partir, tu étais mature, tu avais de l'argent, une soif de liberté et de connaissance, et tu savais te débrouiller. Mais arriver à Mayaku fut un dépaysement total et cela ne fut pas facile, et ceux malgré la bourse qu'une université t'offrait afin de faire un master d'histoire. Tu n'avais pas pensé aux heures de souffrances pour joindre les deux bouts, sans oublier le manque constant de tes géniteurs, par la force des choses tu avais fini par retomber dans tes travers. Je compris alors que nous nous étions rencontré au beau milieu de ce train de vie infernal, quand se rythme incroyable était devenu une routine pour toi, et j'étais arrivé tel un grain de sable enrailler la mécanique de ta vie avec mes gros sabots mais je t'avais donné l'amour que tu méritais et je t'avais changée, adoucit, et ceux même si tes épreuves étaient gravées dans la peau de ton bras droit. Sans doute un peu grâce à moi, à l’obtention de ton concours pour être professeur d'histoire-géographie, tu avais repris contact avec ta mère, mais sans jamais accepter de la voir.
C'est à ce moment du récit que tu fis irruption dans l'appartement, des larmes perlaient aux coins des yeux de ta mère, tandis que tu avais les bras chargés, parlant d'un film que tu voulais aller voir. C'est en relevant la tête que tu t'étais figée, tu avais lâché ce que tu tenais, tes yeux passant de ta mère à moi, aucun de nous ne bougeait, ainsi c'est toi qui brisas en premier le silence, tu me demandas d'une voix légèrement tremblante ce qu'elle faisait la. Voyant que je ne réagissais pas tu avais passé la main sur ton visage, renonçant à sauver les apparences, puis tu t'étais mis dans une colère noire, toute la rancœur contre ta mère se déchaînait mais pas seulement, telle une tornade tu avais retourné l'appartement, insulté ta mère ainsi que moi-même. Puis sans prévenir tu t'étais calmé et tu t'étais adressée à moi, d'une voix calme qui me fit froid dans le dos, me disant à tort que je ne t'avais jamais aimé, que tu n'avais été qu'un passe-temps pire un objet d'étude, mais que le plus détraqué de nous était moi, et que je détruisais tout ce que je touchais. Effectivement tu avais raison je t'avais détruit, ainsi que les sentiments que tu avais pour moi et notre relation, ce jour la tu étais parti ainsi, tu avais seulement ajouté une fois au pas de la porte, dos à moi que je ne devais plus m'approcher de toi, et c'est ce que j'avais fais. Je savais que tu n'avais pas pleuré pour moi mais je t'avais brisé un peu plus et c'est ce qui me faisait mal, j'avais durement travaillé pour que tu es confiance en moi et en les autres et j'avais tout cassé, pourtant Winnie, je t'aimais et je t'aime de tout mon cœur.
Doux fruit d'une union entre un avocat irlandais et une actrice cubaine, tu étais leur vœux le plus cher et leur plus beau cadeau, à leurs yeux tu étais unique d'où ton nom peu commun. Par la suite il s’avéra que ta différence n'était pas que dans la tête de tes parents en effet, dès ton plus jeune âge tu manifestas tous les signes d'une enfant surdouée, tu ne supportais ni l'école, ni les gens de ton âge, tu passais ton temps à courir partout, à faire des cascades comme le dis si bien ta mère, et à lire. Oh lire c'était ta passion et c'est toujours le cas, elle te permet de t'instruire, en effet tu as toujours lu dans le but d'apprendre et tu avais déjà semblerait-il le même engouement pour les livres d'histoire et la même manie de faire la moue quand un passage te plaisait.
Mais tout n'était pas rose dans ta petite famille, lors de ton septième anniversaire ta mère t’abandonnât et tu resteras sans nouvelles d'elle pendant plus de deux ans, aujourd'hui elle se justifie par sa carrière et par son insouciance de l'époque. Ta mère refit ensuite surface et réclama ta garde alors l'enfer commença, tu passais ton temps dans les avions entre ta mère et ton père qui déménageaient sans arrêt, tu restais seule ou entourée d'adulte. Ainsi au fil des années tu te renfermas ne supportant plus d'être différente, ni de passer en second plan, après la carrière de tes parents.
Alors à 15 ans tu demandas à t'installer avec ton père en Russie et tu commenças à gagner de l'argent comme tu pouvais sans éveiller les soupçons de tes parents, tu avais entendu parler dans le journal des courses illégales et de leurs gros profits, tu te lanças ainsi dans le milieu que ce soit en voiture ou à moto. Et tu excellais dans cette discipline en effet le goût du risque mélangé à tes calculs de trajectoires faisait de toi un pilote incroyable même si la voiture et la moto de ton père n'étaient pas les plus rapides, tu gagnais souvent, et c'était grisant, te permettant de t'échapper quelques instants et d'être reconnu pour ton talent. Un an à pratiquer, ainsi qu'à t'essayer aux combats de rue avant de passer ton bac en candidat libre avec brio. Avec tous ses atouts en poche tu décidas de partir, tu étais mature, tu avais de l'argent, une soif de liberté et de connaissance, et tu savais te débrouiller. Mais arriver à Mayaku fut un dépaysement total et cela ne fut pas facile, et ceux malgré la bourse qu'une université t'offrait afin de faire un master d'histoire. Tu n'avais pas pensé aux heures de souffrances pour joindre les deux bouts, sans oublier le manque constant de tes géniteurs, par la force des choses tu avais fini par retomber dans tes travers. Je compris alors que nous nous étions rencontré au beau milieu de ce train de vie infernal, quand se rythme incroyable était devenu une routine pour toi, et j'étais arrivé tel un grain de sable enrailler la mécanique de ta vie avec mes gros sabots mais je t'avais donné l'amour que tu méritais et je t'avais changée, adoucit, et ceux même si tes épreuves étaient gravées dans la peau de ton bras droit. Sans doute un peu grâce à moi, à l’obtention de ton concours pour être professeur d'histoire-géographie, tu avais repris contact avec ta mère, mais sans jamais accepter de la voir.
C'est à ce moment du récit que tu fis irruption dans l'appartement, des larmes perlaient aux coins des yeux de ta mère, tandis que tu avais les bras chargés, parlant d'un film que tu voulais aller voir. C'est en relevant la tête que tu t'étais figée, tu avais lâché ce que tu tenais, tes yeux passant de ta mère à moi, aucun de nous ne bougeait, ainsi c'est toi qui brisas en premier le silence, tu me demandas d'une voix légèrement tremblante ce qu'elle faisait la. Voyant que je ne réagissais pas tu avais passé la main sur ton visage, renonçant à sauver les apparences, puis tu t'étais mis dans une colère noire, toute la rancœur contre ta mère se déchaînait mais pas seulement, telle une tornade tu avais retourné l'appartement, insulté ta mère ainsi que moi-même. Puis sans prévenir tu t'étais calmé et tu t'étais adressée à moi, d'une voix calme qui me fit froid dans le dos, me disant à tort que je ne t'avais jamais aimé, que tu n'avais été qu'un passe-temps pire un objet d'étude, mais que le plus détraqué de nous était moi, et que je détruisais tout ce que je touchais. Effectivement tu avais raison je t'avais détruit, ainsi que les sentiments que tu avais pour moi et notre relation, ce jour la tu étais parti ainsi, tu avais seulement ajouté une fois au pas de la porte, dos à moi que je ne devais plus m'approcher de toi, et c'est ce que j'avais fais. Je savais que tu n'avais pas pleuré pour moi mais je t'avais brisé un peu plus et c'est ce qui me faisait mal, j'avais durement travaillé pour que tu es confiance en moi et en les autres et j'avais tout cassé, pourtant Winnie, je t'aimais et je t'aime de tout mon cœur.
Et derrière l'écran
Pseudonyme : Salomé
Comment as-tu connu Mayaku ? Une très bonne amie, où plutôt un gremlins me l'a conseillé, enfin m'a à moitié forcé à m'inscrire.
Le forum te plaît ? Oui, j'aime beaucoup l'ambiance qu'il dégage
Tu veux nous parler d'autre chose ? Pas pour le moment
Comment as-tu connu Mayaku ? Une très bonne amie, où plutôt un gremlins me l'a conseillé, enfin m'a à moitié forcé à m'inscrire.
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