Mayaku c’est d’abord son enfance. Né d’une mère japonaise et d’un père hollandais, il grandit ici. Le pater est un agent européen pour HISHO, la mater est une pianiste de petite renommée.

Sa carrière sportive il la mène en Angleterre. On mise fort sur Goro, il est un futur champion du MMA. Mais en commettant l’irréparable alors qu’il approche du pinacle, il perd sa licence à vie. Banni, il rentre au Japon et se fait un nom en tant que coach dans la ville de Kobe. Mais chez ses élèves, pas une seule étoile, même pas une comète, juste des petits businessmen qui viennent en découdre pour se sentir vivants. Goro se lasse, Goro fait son retour à Mayaku, quartier SUD, chez sa mère.

Il prend son temps, redécouvre sa génitrice, partage son quotidien et goûte de bons moments avec elle. Il redécouvre aussi la cité qui l’a vu naître, l’observe et tire bientôt ses conclusions.
Maman est une élue de Vox et il se penche sur la question, sur cette lumière qu’il perçoit. Et il embrasse la cause, se surprenant lui-même. Il dépasse rapidement les attentes, nourrit le clan et se hisse jusqu’au palier qui lui sied pour tutoyer Moira O’Sullivan, qu’il complète à merveille de sa voix de stentor.

Il est l’ange opérationnel, le plus proche des Saints, avec qui il trempe allègrement les mains dans le sang. Dans le SUD il ordonne et inspire, dans le NORD il acte et transpire.