N
M

la petite citation

qui fait

grave du bien dans le kokoro

Mayaku

Mayaku, l’idyllique ville nippone, n’est plus. Les guerres de gang, l’avidité et la convoitise du pouvoir, la folie et les flammes, ont tué ce paradis. Et bientôt, ça sera votre tour.
 
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Mar 20 Aoû - 17:04

       

     

CHARLOTTE STEVENS

“i know what you did and i wanna scream the truth.

       
 
Quartier
OUEST

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en
tité

Surnom : charlie, elle déteste qu'on l'appelle charlotte et ne se présente pas sous ce nom
âge : vingt-sept ans
naissance : douze octobre, balance
genre : femme
orientation : homosexuelle
métier : anciennement dans la police scientifique, maintenant détective privée (moineau)
origines : américaine, géorgie




CARACTÈRE:
douce comme un coeur x calme et patiente x privilégie la réflexion à l’instant x sérieuse et travailleuse x elle est de ceux qui persévèrent sans jamais rien lâcher x droite et juste x mais un peu rigide x elle a du mal à accepter le changement et à aller à l’encontre de ses idées x introvertie mais sociable x elle est de ceux qui écoutent plus qu’ils ne parlent x méthodique et organisée x elle a horreur du désordre et n’aime pas bousculer son quotidien x casanière x romantique et trop fleur bleue x sensible et empathique x curiosité parfois maladive x fascination malsaine pour l’esprit criminel x mature pour une jeune femme de vingt-sept ans x bienveillante et maternelle x très pragmatique et rationnelle x esprit logique x intelligente et lucide x sage x simpliste dans sa manière de vivre x assez maladroite tant physiquement que dans ses relations x téméraire et têtue x on ne lui enlève pas une idée de la tête x sévère et moralisatrice x  désabusée depuis la mort de son père x infiniment rancunière x manichéenne x a une vision trop binaire du monde x un peu coincée x mauvaise perdante

FACTS:
grande amatrice de musique classique, elle joue du piano depuis sa tendre enfance x elle apprécie énormément le vieux rock, dream pop et tout ce qui est chill avec une touche de guitare x elle aime tout ce qui est cosy et chaleureux. son studio est lumineux et décorés de meubles en bois, de plaids beiges et gris et de coussins confortables x elle aime ses pulls en laine même s’ils sont cruellement démodés x elle boit beaucoup trop de café (et le soir de la tisane) x absolument nulle en informatique. à croire qu’elle est de la génération de sa grand-mère x incapable de se faire aux nouvelles technologie x elle éteint encore son ordinateur en appuyant sur le bouton power x elle ne comprends ni les memes, ni les smileys x préfère de loin travailler sur papier. elle est très organisé et a une pile de dossiers, de journaux et autres notes rangés dans son armoire x paradoxalement, elle est très nostalgique de la vibe rétro et joue énormément aux jeux vidéos x mais seulement les anciennes consoles (elle a fait les premiers pokémon au moins cinq fois) x n’est pas très animes ou séries, mais adore regarder des films de ses soirées libres x elle lit énormément x adore les énigmes et déteste ne pas trouver x sherlock holmes de mayaku mais en moins bien

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petit bout de femme, charlie. du haut de son mètre cinquante-huit, elle semble inoffensive. mince, une poitrine discrète et une taille fine. presque fragile.
elle a des cheveux châtains, aux doux reflets café au lait. sauvages, indomptables. toujours coiffé d’un coup de main qui les balayent en arrière. cela fait bien longtemps qu’elle ne lutte plus contre ses mèches rebelles. ils lui tombent dans le dos, effleurent ses épaules d’une cascade désordonnée.
et ses yeux. ordinaire pupille noisettes, tirant sur le vert. et parfois, sous un rayon de soleil, ils brillent d’une lumière dorée. elle a les yeux doux, charlie. toujours. elle pose sur le monde un regard chaleureux. ils transpirent la gentillesse, le calme et la bonté.
une peau mate, et dans le creux de ses joues et sur le bout de son nez, des constellations. multitudes de petites taches rouge qui lui donne cet air d’avoir été marqué par le soleil.

elle est simple, charlie. ne se pare pas de maquillage ou de bijoux pour s’embellir. elle préfère l’authenticité. n’a pas le temps de s’inquiéter sur son apparence. ne sait pas comment faire.
au travail, elle fait un effort. collectionnes les chemises, tantôt noires tantôt blanches. parfois grises. elle les rentre dans son jean trop proche du corps et qui met en avant ses jambes fines. ça lui donne un air presque chic, accompagné d’une veste en cuir.
et quand elle est chez elle, quand elle est à l’aise, elle se cache dans des pulls bien trop grand pour elle. ces pulls en laine qu’on ne croit voir qu’aux fêtes en hiver. elle s’y s’en bien, libre et à l’aise. de couleurs chaudes; beiges, jaunes, oranges ou bruns. parfois rapiécés ou en mauvais états. presque usés.
et quand elle travail ou qu’elle lit, elle laisse glisser sur son museau une paire de lunettes. rondes, simples. et ça lui donne cinq ans de plus, mais elle s’en fiche.
c’est si confortable.


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toi
re

c’est beau, l’automne. les feuilles des arbres fanent. leur robe verte et fleurie laisse place à un pelage plus chaud. elles tombent. cinq centimètres par seconde. puis s’écroulent sur le sol pour le joncher de couleurs vives.
les forêts se dorent, entremêlant milles couleurs. du rouge, du jaune et du brun. véritable spectacle. la nature devient feu.
charlotte est née en automne, en goérgie. première et seule enfant de sa famille, ou du moins de ce qui s’y apparente. peu après sa naissance, sa mère est partie. loin, sans eux. abandonnant son père et le nouveau né.
elle ne se souvient pas de son visage. elle n’a aucune attache. pas un souvenir, pas une seule photo. tout a disparu avec elle. elle sait simplement qu’elle a hérité de son minois. son père le lui rappelait sans cesse, enfant. ô charlotte, tu as ses yeux. et les mêmes tâches de rousseurs…. et charlotte ne comprenait pas. de qui parlait-il et pourquoi semblait-il si triste ?

ils ont déménagés à atlanta quand elle était petite. plus simple pour lui pour gagner sa vie et élever une petite fille.
il s’en occupa seul, son père. un homme bien, un américain. le genre à prendre soin de sa famille, protecteur envers la seule chose qui lui restait. un véritable papa ours.
il lui a apprit à se débrouiller, à devenir un petit bout de femme. forte et indépendante. elle lui doit beaucoup. mais il était sévère, le paternel. parfois trop. il était flic, et on ne se refait pas.

mais c’était un bon gars. un bosseur, toujours impliqué dans son boulot à combattre le crime. amoureux de son pays, il aurait donné sa vie pour lui. se sacrifiant chaque jour pour rendre le monde plus beau. il voulait pour charlie un futur sans danger, et oeuvrait à l’améliorer.
mais il était un peu cassé. à force de courir après la justice, on voit des choses horribles. celles qui ne s'effacent pas. démons qui reviennent le soir pour hanter ses pensées.
mais il était solide, le père. il ne lâchait rien. continuant de faire ce boulot dont il était amoureux. combattant sur deux fronts: dans la ville et pour sa fille.

il a veillé à ce qu’elle ait tout, qu’elle ne manque de rien. l’éduquant comme on l’avait éduqué. à être une bonne citoyenne, à travailler dur pour réussir et à faire le bien autour d’elle.
il lui disait que dans la vie, il y avait des méchants et des gentils, et que ça ne tenait qu’à elle de choisir de quel côté se tenir.
charlotte, elle l’admirait, son père. elle voulait devenir comme lui plus tard. chasser les méchants et devenir un héro.
parce qu’il en était un.
au moins dans ses yeux.

il a toujours été fière d’elle. bonne élève à l’école. travailleuse et gentille.  intelligente et curieuse. peut-être un peu trop, surtout vis à vis de son boulot. inexorablement attirée par les enquêtes et la criminalité. mais elle partageait son sang, il s’y attendait.
il l’a toujours soutenu. et même si on pouvait lui reprocher ce côté un peu conservateur, il ne dit rien lorsqu’il apprit que sa fille ne sortait pas avec des garçons.
parce qu’il l’aimait, vraiment.
et elle aussi. du plus profond de son coeur.

pas faite pour être sur le terrain, trop petite, trop menue et trop douce; charlie décida d’intégrer la police scientifique. c’était sa manière à elle d’oeuvrer pour la justice. et surtout, de le rendre fière.
en tirant sur les bons filons, elle intégra le département après trois années d’études et une de stage. elle était bonne, charlie. appréciée de ses collègues et appliquée dans son boulot. peut-être un peu trop curieuse et sûre-d’elle, ne pouvait s’empêcher de la ramener lors des enquêtes.
ce n’était pas son taff, on lui rappelait, la reprenait à l’ordre. mais elle avait souvent raison. elle avait cette intuition, cet instinct qui la mettait sur la voie. alors pour ça et pour son doux sourire, on lui pardonnait tout.

et puis, il y a 4 ans, charlie sentit que quelque chose se passait. depuis plusieurs mois son père avait maigrit, des cernes se dessinaient sous ses paupières et il semblait fatigué. sa barbe autrefois douce n’était plus que mal taillée.
et là où les autres s’inquiétaient, charlie comprenait.
il était sur une enquête. mais pas les habituelles, celles qui se règlent en quelques semaines. non non. il était dessus depuis plusieurs mois et ne lâchait rien. c’était comme mettre la main sur un gros poisson. c’était compliqué. il fallait tirer,être patient et aux aguets.
il fallait écarter les fausses pistes, faire le ménage dans les dossiers. rester discret aussi, les plus grosses affaires sont toujours les plus dangereuses. celles qui cachent quelque chose, qu’on refuse de trop ébruiter.
et son père était tout près.
tout près de la vérité.

il partit au japon, suivait la seule piste plausible, persuader d’avoir raison. il n’en parlait vaguement, évoquant un trafic trop important et une implication de la mafia japonaise.
il confia la ville à sa fille et s’envola.
et elle n’eut plus de nouvelles de lui pendant des mois.
parfois une ou deux lettres, quelques appels. mais c’était dangereux, et il était un homme prudent.

un jour, charlie fut convoquée dans le bureau du commissaire. un ami de son père, haut placé. fière tête du département de police d’atlanta.
c’était un honneur de le rencontrer et charlie ne pouvait s’empêcher de frémir d’excitation. avait-on reconnut son talent ? allait-elle être promu ? allait-on la mettre sur une enquête palpitante ?
les questions se bousculaient avec hâte dans son esprit. elle appréhendait, mais son côté optimiste la forçait à être impatiente.
elle n’aurait pas dû.

“bonjour mademoiselle stevens… asseyez-vous s’il vous plaît.”
elle obéit, intriguée. l’ambiance est lourde. ils ne sont pas seuls dans le bureau. il y a d’autres flics, des têtes plus ou moins connues.
charlie ne se sent pas bien. immobile, tendue. elle a une sale impression. sa gorge se serre sous leurs regards fuyants. ils ne la regardent pas, glissant vers le sol d’un air coupable. elle a l’impression d’étouffer. elle voudrait parler, hurler. crever l’abcès.
mais elle se tait.
“nous sommes au regret de vous annoncer que nous avons retrouvé le corps de jim stevens. il a été abattu à mayaku de plusieurs balles dans le corps. la mafia japonaise semble impliqué. nous n’avons pas plus de nouvelles à l’heure actuelle. toutes mes condoléances.”
pas de réponse.
juste le silence.
elle quitte le bureau.
s’enfuit des locaux.

elle court dans la rue, charlie. du mieux qu’elle peut, mais ses jambes tremblent. à tout moment, elles vont s’écrouler, la lâcher. elle a l’impression qu’à chaque seconde qui s’écoule, on lui plante une lame dans le dos. elle a mal. ça la brûle dans sa poitrine. elle a l’impression d’exploser.
elle hurle à s’en briser la voix. pleure à se noyer dans ses larmes.
ce n’est pas juste. ce n’est pas possible. pourquoi ? pourquoi lui ? pourquoi comme ça ? les images défilent dans son esprit. son père, sa barbe douce et son rire gras. cette chaleur qui se dégageait de ses yeux.
puis son visage inerte. son corps criblé de balles.
et la mort.
seulement la mort.

elle a mit du temps à s’en remettre, charlie. elle n’était plus la même. les démons de son père était devenus les siens. elle ne dormait plus. elle voulait partir loin, au japon, et retrouver les assassins. elle voulait les voir périr de ses mains. les voir souffrir comme ils l’avaient fait souffrir.
désir sourd de vengeance tapis dans son coeur trop fragile. la culpabilité le rongeait. elle aurait du partir avec lui, s’impliquer plus. elle aurait dû l’aider et être à ses côtés.
mais c’est trop tard.
elle n’avait pas pu le sauver.
et charlie s’était éteinte.

ce n’est que moins d’un an plus tard, quittant la maison familiale abandonnée dans les cartons que la vie de charlie prit un autre tournant.
son père n’était pas bête. il lui faisait confiance. il lui avait laissé, ici et là, perdu dans milles dossiers, des indices.des bouts de pistes, des pages de son journal intime.
pour peu que l’on prenne la peine de remettre en ordre ce puzzle de mot, on tombait sur un véritable compte rendue de ses recherches.
le sang de charlie ne fit qu’un tour. sa rancune, bien que dissimulée au fond de son coeur, celle qu’elle avait refoulé pour essayer d’avancer, a refait surface.
le regard de charlie brille d’une flamme nouvelle.
il est l’heure de venger son père.

après des nuits blanches perdues dans ces dossiers. après des litres de cafés et des cernes trop prononcés, l’espoir est permis. elle a des noms. plusieurs. scélérats japonais, criminels immigrés, tout est là.
et tout converge en un seul point: mayaku.
et parmis ce maelstrom d’informations et de têtes à abattre, un nom se démarque particulièrement des autres. a trop d'itérations pour que ce ne soit qu’un hasard.
revient trop de fois.
jung-hyun paek.
charlie le sent. son instinct ne se trompe pas.
elle doit retrouver cette femme.
quelle qu’elle soit.
et venger son père.

alors elle part, charlie. s’envole à son tour pour le japon et change de profession. elle devient détective privée.
après trois ans d’activités, la plupart des têtes sont tombées.
elle essaye de les mettres derrières les barreaux, mais parfois, la mort les attrappent avant elle.
parfois, elle se demande si ses mains sont sales. se rappelle qu’elle n’a jamais tué personne mais qu’elle en est responsable. indirectement.
le souvenir de son père chasse alors tous sentiments de regret. charlie est persuadée d’agir au nom de la justice.
se persuade elle même de faire le bien. aveuglée par une vision trop manichéenne du monde.
et elle finit par se faire remarquer. hisho l’ont contacté, lui demandant de se mettre à leurs services.
et charlie, convaincue de pouvoir arriver à ses fins par ce biais, a accepté.

devenue consultante auprès de la police nippone, son objectif à changé.
sa soif de justice à repris et son plaisir étrange pour les enquêtes ont repris le dessus.
elle est maintenant une véritable détective, bien trop happée par l’idée de faire tomber les malfrats qui contrôlent le monde.
mais son désir de vengeance est toujours là.
et caché au fond de son porte monnaie il y a un papier.
plié, abîmé. trois ans qu’il reste caché.
jung-hyun paek.
elle ne t’a pas oublié.


CHRONOLOGIE:
12 octobre 1992: naissance de charlotte stevens, covington, géorgie
avril 1993: départ de sa mère, la laissant elle et son père, seuls
août 1997: déménagement à atlanta
juin et septembre 2010: fin du lycée et début de sa formation pour devenir flic
juin 2013: diplômée de l’école de police scientifique
année 2014: après un an de stage à l’APD (atlanta police department), elle intègre leur département scientifique
février 2015: son père est sur une affaire de drogue mêlant l’amérique et la mafia japonaise. il part au japon enquêter
janvier 2016: son père est retrouvé mort à mayaku
septembre 2016: charlie retrouve les notes de son père et décide de reprendre l’enquête vieille de presque deux ans. elle part à son tour au japon, quitte la police et devient détective à son compte
décembre 2018: embauchée par hisho en temps que consultante, elle intègre leur rang. mais se retrouve plus à récolter des données sur les habitants et classer des dossiers qu’être sur le terrain. est assez perplexe à ce sujet
année 2019 (actuellement): toujours petit moineaux pour hiso. en trois ans, pas mal de têtes ont été rayé de sa liste, mais les vraies coupables n’ont jamais été arrêté. charlie persévère. à côté de ça, elle prends plaisir à résoudre à nouveaux des enquêtes et à agir pour la justice.


louise :copyright: lesly-ohby Charlie Stevens


Dernière édition par Charlie Stevens le Jeu 22 Aoû - 23:09, édité 7 fois
Yumi Shinogaï
Yumi Shinogaï
Quartier Nord
Joué par : Yumi
Présentation : https://mayakurpg.forumactif.com/t60-shinobu-gai-yumi

evidences ((charlie)) (terminée) Empty Re: evidences ((charlie)) (terminée)

Mar 20 Aoû - 17:20
Hi toi !

Je viens te souhaiter une nouvelle fois la bienvenue et te souhaiter bonne chance avec ta fiche :hearts: !
Je te donne beaucoup de love ! J'ai hâte de lire tout ça :hearts:
Morgan Marshall
Morgan Marshall
Quartier Nord
Joué par : Morden
Présentation : http://www.mayakurpg.com/t56-morgan-marshall#106

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Mar 20 Aoû - 20:30
hi,

un o.c féminin appelée Charlie, tâche de rousseur, air détaché, j'adore ce qu'on commence a voir. hâte de lire l'histoire de ta détective privée. je sens que ça va donner lieux a de beaux RPs. ❥

welcome home.
Anonymous
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Mer 21 Aoû - 10:43
Coucou <3
Je vais difficilement essayer de ne pas paraphraser Yumi et Morgan. Parce que Charlie à l'air bien classe, et il faut quand même le dire ! J'ai hâte d'en savoir plus également ~
Quoiqu'il en soit, si tu as besoin de quoi que ce soit concernant le quartier Ouest, n'hésite pas à venir m'embêter m'en parler <3

Du looove ~
Anonymous
Invité
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Mer 21 Aoû - 14:12
Heeeeeeey ♪
Alors de nouveau, bienvenue à toi ! J'ai adoré lire cette fiche, honnêtement. J'aime beaucoup ton style, ta manière d'amener les choses, je suis très curieuse de voir la suite en rp :3

En espérant te croiser dans l'un de ces rp ... :heart:
Anonymous
Invité
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Mer 21 Aoû - 14:28
wah trop d'amour ici.

@yumi: merci beaucoup <3
@morgan: grave contente que le mood de charlie te plaise ! en espérant que le reste de l'affiche suive cette première impression <3
@vasiliy: merci tout plein !! je n'hésiterais pas à t'embêter si j'en ai besoin un de ces quatre :eyes:
@phymeris: olalala merci beaucoup pour les compliments ça me touche !! et au plaisir partagé de te croiser inrp <3

du coup normalement c'est fini ! n'hésitez pas à me reprendre au besoin :hearts: j'espère que ça vous plaira et que ça ira héhé.
des bisous d'amour
Yumi Shinogaï
Yumi Shinogaï
Quartier Nord
Joué par : Yumi
Présentation : https://mayakurpg.forumactif.com/t60-shinobu-gai-yumi

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Jeu 22 Aoû - 22:54
HI !

Je ne te fais pas patienté davantage, tu es validé ! tuturuuuuu ~
Ta couleur verte arrive mon petit Sherlock mais avant ça, tout comme Jung-hyun j'ai un petit mais ~
L'icon de ta fiche ne correspond pas aux images que nous demandons, si je ne me trompe pas, c'est une photo bien réel \o/. Cela n'empêche pas ta validation bien évidemment, mais n'oublis pas ; "dessin dessin dessin" :hearts:. C'est à dire qu'on aime les dessins chez nous

Enfin finit mon blablatage, encore bienvenue à toi et longue vie ! :hearts:



-J'ai d'ailleurs un lien à te proposer hihi-
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