Une journée comparable à s’elle d’hier semblait vouloir se dérouler aujourd'hui dans une ambiance à la fois surchargée du stress que seul les humains étaient capables de s'infliger et l’effervescence que provoquait le soleil sur l’ensemble des êtres vivants sur cette terre.
Une porte de bois grinça sur ces gonds mal huilés, se mêlant aux bruits ambiants de la ville, mais personne ne l’entendit ni même l’investigatrice de ce son qui portait sur sa tête des écouteurs peu commun qui coupait radicalement son esprit de ce qui se passait autour d’elle.
La jeune femme inséra la clé dans la serrure, fermant ainsi de manière symbolique son appartement aux petits voleurs du coin. Mais sa réputation n’était plus à refaire dans ce petit quartier peu recommandable, dès la première semaine elle avait remis à sa place un petit truand qui avait osé pénétrer dans son appartement et voler sa console d’amour. Abigail avait poursuivi le petit voleur et lui avait fait regretter son geste a un tel point qu’il ne marchait plus lorsqu’elle en avait eu terminée. Une semaine plus tard elle le retrouva devant son bloc appartement, le pauvre voyou se tenait à peine debout mais souriait de manière assez malsaine, probablement car il se croyait à l’abri derrière un troupeau d’une dizaine de malfrats aussi peu intelligents que lui. La jeune femme les avait alors battus avec seulement un couteau qu’elle traînait dans ses poches pour ce genre de situation et depuis ce temps le quartier était plus sûr ou du moins semblait être plus sûr.
Abigail enleva la clé de la serrure et l’inséra dans une poche intérieure de sa veste, son regard perdu dans le lointain elle descendit l’escalier menant au trottoir et commença sa marche vers le parc. Cela faisait déjà deux jours qu’elle était restée enfermée dans son appartement à jouer sur sa console mais maintenant elle avait besoin d’air. N’ayant pas de contrat depuis quelques jours elle en profita donc pour faire ce qu’elle avait envie et le résultat fut deux nuits blanches à jouer. Cependant son cerveau en ébullition lui signifia qu’elle avait besoin de soleil et surtout d’air frais! Et pourquoi pas un repas un peu plus sains que de la pizza et des ailes de poulet.
Les oreilles et la tête apaisées par les douces paroles de Metallica, Abigail marcha d’un pas régulier vers le parc. Elle croisa en chemin un petit marchand de sucrerie, tant pis pour le repas sain elle échangea quelques monnaies pour un cornet de crème glacé au chocolat et continua sa route vers un parc quelconque, le premier qu’elle croiserait.
Ces pas la conduisirent dans un petit parc à chien, des maîtres lançaient la balle, d’autres étaient assis sur des bancs et regardaient leurs cellulaires. Ce serait un peu bizarre si Abigail irait s’asseoir dans le parc sans avoir de chien, c’est ce qu’elle fit pourtant. Elle trouva un banc libre et si assis, ses yeux verts tournés vers les chiens. Comme elle aimerait en avoir un mais elle savait qu’elle n’avait pas le temps pour s’en occuper et qu’il mourrait probablement de faim lorsqu’elle s’absenterait plusieurs jours pour le boulot. À moins qu’elle le traînerait avec elle et qu’il deviendrait un allié utile dans la traque de ces cibles. L’idée n’était pas mauvaise et Abigail aimait beaucoup l'idée d'avoir un compagnon animalier, les humains la dégoûtait et ils risquent toujours de te trahir, de te voler ou encore pire; de t’aimer!
La jeune femme regarda un chien s’approcher pour lui renifler la main, L’animal était de grande taille, le poil long et doux, il semblait être un mélange d’Husky et peut être de berger allemand, mais elle ne connaissait pas assez les races de chiens pour s’aventurer à conclure la race du chien assis devant-elle. Abi lui gratta le derrière d’oreille avec plaisir, un sourire doux sur ces lèvres maquillées de rouge, ses yeux verts détaillant l’animal avec un intérêt non dissimulé.
Une porte de bois grinça sur ces gonds mal huilés, se mêlant aux bruits ambiants de la ville, mais personne ne l’entendit ni même l’investigatrice de ce son qui portait sur sa tête des écouteurs peu commun qui coupait radicalement son esprit de ce qui se passait autour d’elle.
La jeune femme inséra la clé dans la serrure, fermant ainsi de manière symbolique son appartement aux petits voleurs du coin. Mais sa réputation n’était plus à refaire dans ce petit quartier peu recommandable, dès la première semaine elle avait remis à sa place un petit truand qui avait osé pénétrer dans son appartement et voler sa console d’amour. Abigail avait poursuivi le petit voleur et lui avait fait regretter son geste a un tel point qu’il ne marchait plus lorsqu’elle en avait eu terminée. Une semaine plus tard elle le retrouva devant son bloc appartement, le pauvre voyou se tenait à peine debout mais souriait de manière assez malsaine, probablement car il se croyait à l’abri derrière un troupeau d’une dizaine de malfrats aussi peu intelligents que lui. La jeune femme les avait alors battus avec seulement un couteau qu’elle traînait dans ses poches pour ce genre de situation et depuis ce temps le quartier était plus sûr ou du moins semblait être plus sûr.
Abigail enleva la clé de la serrure et l’inséra dans une poche intérieure de sa veste, son regard perdu dans le lointain elle descendit l’escalier menant au trottoir et commença sa marche vers le parc. Cela faisait déjà deux jours qu’elle était restée enfermée dans son appartement à jouer sur sa console mais maintenant elle avait besoin d’air. N’ayant pas de contrat depuis quelques jours elle en profita donc pour faire ce qu’elle avait envie et le résultat fut deux nuits blanches à jouer. Cependant son cerveau en ébullition lui signifia qu’elle avait besoin de soleil et surtout d’air frais! Et pourquoi pas un repas un peu plus sains que de la pizza et des ailes de poulet.
Les oreilles et la tête apaisées par les douces paroles de Metallica, Abigail marcha d’un pas régulier vers le parc. Elle croisa en chemin un petit marchand de sucrerie, tant pis pour le repas sain elle échangea quelques monnaies pour un cornet de crème glacé au chocolat et continua sa route vers un parc quelconque, le premier qu’elle croiserait.
Ces pas la conduisirent dans un petit parc à chien, des maîtres lançaient la balle, d’autres étaient assis sur des bancs et regardaient leurs cellulaires. Ce serait un peu bizarre si Abigail irait s’asseoir dans le parc sans avoir de chien, c’est ce qu’elle fit pourtant. Elle trouva un banc libre et si assis, ses yeux verts tournés vers les chiens. Comme elle aimerait en avoir un mais elle savait qu’elle n’avait pas le temps pour s’en occuper et qu’il mourrait probablement de faim lorsqu’elle s’absenterait plusieurs jours pour le boulot. À moins qu’elle le traînerait avec elle et qu’il deviendrait un allié utile dans la traque de ces cibles. L’idée n’était pas mauvaise et Abigail aimait beaucoup l'idée d'avoir un compagnon animalier, les humains la dégoûtait et ils risquent toujours de te trahir, de te voler ou encore pire; de t’aimer!
La jeune femme regarda un chien s’approcher pour lui renifler la main, L’animal était de grande taille, le poil long et doux, il semblait être un mélange d’Husky et peut être de berger allemand, mais elle ne connaissait pas assez les races de chiens pour s’aventurer à conclure la race du chien assis devant-elle. Abi lui gratta le derrière d’oreille avec plaisir, un sourire doux sur ces lèvres maquillées de rouge, ses yeux verts détaillant l’animal avec un intérêt non dissimulé.