Sanada Kana
« Nage parmi les voix des kamis comme un poisson fraie dans une rivière, ma nièce. »SUD
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en
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âge : 23 ans
genre : ♀
orientation : bi
métier : prêtresse
origines : Mayaku (sud)
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Commençons par parler du premeir tiers du 20° siècle. Un jeune allemand s'éprend presque malgré lui d'une japonaise lors d'une visite au pays du soleil levant. Ils vivent heureux quelques années, mais la guerre réclamera bientôt son dûe, et la vie du jeune homme. Cependant, il n'aura pas laissée sa dulcinée seule : en effet celle-ci est enceinte. Passons ensuite sur la vie de la jeune mayakoïte et de ses déscendants et descendantes, pour nous rendre directement à des évènements datant d'à peine 30 ans. La mère de Sakana décide d'aller visiter le lointain pays de son ancêtre germanique. Elle y rencontre de lointains cousins et … disons que de toute façon, ils sont assez éloignés après près d'un siècle pour qu'on ne s'attarde pas sur ce qui se passe là-bas. Toujours est-il qu'elle décide d'habiter avec l'un desdits cousins, et tombe à son tour enceinte plus tard. Elle prendra tout de même contact avec son frère à cette occasion : Insouciante et égoïste, elle lui demandera d'adopter et d'emmener l'enfant à Mayaku. Celui-ci commencera par refuser, mais quand l'enfant commencera à montrer des troubles psychologiques, il cèdera finalement. Trop tard, le mauvais traitement et les prédispositions de Kana ont déjà planté la graine de la folie profondément dans son esprit. Ses sautes d'humeurs devenant dangereuses pour ses camarades, elle sera sortie du système scolaire et recevra une pieuse éducation dans sa demeure du sud de Mayaku. Elle y apprend bien sûr à lire, écrire et compter, mais également à calligraphier, a révérer les kamis, et elle s'empreint du folklore de son peuple. Mais aussi les arts martiaux tout en éléegance et en douceur que les femmes guerrières maîtrisaient déjà dans des temsp anciens : il n'est jamais trpo de prudence si l'ont souhaite survivre à Mayaku. Malgré une apparence rappelant sans aucune contestation possible son ascendance germanique, elle finit par devenir miko. Sa schyzophrénie sera contenue par sa foi, Kana ayant été infusée de la conviction que les voix qu'elle entend sont celles des kamis eux-mêmes. Bien que faisant montre le plupart du temps d'une humilité presque exagérée, elle porte presque en permanence les bijoux qui attestent de la richesse de sa famille. « la prêtresse qui parle aux esprits » a reçu le surnom de « Sakana », qui en plus d'être une contraction de ses noms et prénoms, signifie poisson. Son oncle (qui l'avait donc adoptée), avait en effet prit l'habitude de la nomemr ainsi, lui apprenant par diverses techniques de relaxation à « nager parmi les voix des kamis comme un poisson fraie dans une rivière ».
Toutefois, la mort de son oncle et père adoptif il y a quelques semaines, aux mains des complots de la ville, l'a laissée sans protecteur et entre cela et le choc pur et dur de la perte d'un être cher, le peu d'emprise qu'elle maintenait sur sa maladie s'estompe doucement, la rendant de plus en plus dangereuse et instable.