Nom complet : Mariko Sun.
Âge : 23 Ans.
Quartier : Est.
Métier : Officiellement ? Ahah.
Origines : Japonaises.
Crédit avatar : Art Work by Fin DAC.
Âge : 23 Ans.
Quartier : Est.
Métier : Officiellement ? Ahah.
Origines : Japonaises.
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Personnage
Aspect physique : Mariko, un vrai petit prénom d'ange. S'il n'y avait pas les tatouages, le maquillage et les tenues un peu trop grunge et sexy pour être honnêtes, on pourrait y croire. Elle a un petit visage rond, encore enfantin, avec les joues généreuses. Des mèches de cheveux noirs lui tombent perpétuellement dans les yeux, ce qui n'empêche pourtant pas à son regard de garder son intensité et son éclat, malgré la couleur brune, proche du néant, de ses iris. Ses cheveux doivent lui arriver au niveau du bassin, et elle s'amuse souvent à les coiffer n'importe comment, quand bien même elle les préfère détachés et libres. Extrêmement sportive, elle a une silhouette qui semble passer partout, même par les plus petites ouvertures. Elle porte quasiment toujours des soutiens gorges rembourrés, car elle complexe énormément sur sa petite poitrine. Faites lui la réflexion un jour, vous ne la referez pas deux fois.
Description psychologique : Demandez à Mariko comment elle se décrit, elle vous répondra avec un haussement d'épaule qu'elle est une nana comme n'importe quelle autre. Et pourtant elle a ce petit problème avec la perfection, qu'elle cherche à atteindre sans cesse ; elle veut être la meilleure. Elle a l'esprit de compétition, et surtout une grande exigence envers elle-même et les autres. Les autres... Elle ne supporte pas la solitude, et a une capacité à la sociabilisation assez impressionnante, elle est drôle, joviale, toujours avec l'envie de faire la fête et elle s'entend avec tout le monde... Ou presque. Si vous faites partie des personnes qu'elle n'apprécie pas, vous le saurez très vite. Franche et directe, elle n'hésite pas à dire ce qu'elle pense, quand bien même cela ne soit pas réellement politiquement correct. En revanche, si cela sert son intérêt elle saura mentir à la perfection. Calculatrice, voilà un adjectif qui décrit bien Mariko ; elle ne laisse rien au hasard, et passe parfois des nuits entières sans trouver le sommeil à force de réfléchir. Et lorsque ses pensées sont trop présentes, c'est dans la drogue qu'elle trouve du réconfort. C'est une nana excessive. Elle se fiche pas mal du regard des gens, tant qu'on la respecte. Elle aime avoir le contrôle, se sentir maître de la situation, ce qui se trouve être en parfaite contradiction avec son attitude dans l'excès de l'alcool et des substances qu'elle vend autant qu'elle prend. Dans le fond, elle reste la petite fille capricieuse qu'elle a tatoué sur son bras.
Histoire
Quand j'étais petite, ma mère me racontait toujours la même histoire. Elle me parlait pendant des heures des esprits de la forêt, de leur aura, de leur bienveillance. Elle me murmurait de ne pas avoir peur du noir, car dans la forêt il n'y a pas de lumière, mais les arbres parlent entre eux pour se rassurer. Elle me disait toujours que si j'étais perdue, il me suffisait de fermer les yeux et d'écouter la respiration du vent dans les feuilles, et que les esprits de la forêt me guideraient.
Je me suis toujours demandé si ma mère tapait pas un peu trop d'héro, à cette époque.
À la maison, de ce que je m'en souviens, ça a jamais été trop la joie. Papa était occupé à cogner Maman, et Maman à penser que je me rendais compte de rien. Et moi, dès que j'ai eu l'âge d'être assez maligne pour échapper à leur surveillance - c'est-à-dire assez tôt - je passais le plus clair de mon temps à l'extérieur. On a toujours habité dans le quartier Est, à Mayaku. A force, j'ai fini par le connaitre par cœur, à écouter le bruit du vent dans les tours. J'ai jamais eu peur du noir. Et surtout, je me suis mise à trainer avec des gens peu recommandables - c'est toujours comme ça que ça commence non ?
On était trois. Un trio d'enfer. Moi, mon mec et son frère. On avait 18 ans et la folie de la jeunesse dans les veines. On jouait aux racailles et à dealer pour se faire un peu de fric. C'était que dalle, et nous, on avait le frisson de l'adrénaline. L’adrénaline... Je crois que c'est elle qui nous a rattrapé la première. Son frère, on l'a retrouvé un matin. OD ils ont dit. Mon copain, il ne s'en est jamais remis. Un an plus tard, il s'est collé un gun dans la bouche et il a appuyé sur la gâchette.
On était trois. Un trio d'enfer. Moi, je suis toute seule maintenant. J'ai repris le flambeau, fait grandir le business, et me voilà à tenir une bonne partie du réseau de dope de l'Est.
Je me suis toujours demandé si ma mère tapait pas un peu trop d'héro, à cette époque.
À la maison, de ce que je m'en souviens, ça a jamais été trop la joie. Papa était occupé à cogner Maman, et Maman à penser que je me rendais compte de rien. Et moi, dès que j'ai eu l'âge d'être assez maligne pour échapper à leur surveillance - c'est-à-dire assez tôt - je passais le plus clair de mon temps à l'extérieur. On a toujours habité dans le quartier Est, à Mayaku. A force, j'ai fini par le connaitre par cœur, à écouter le bruit du vent dans les tours. J'ai jamais eu peur du noir. Et surtout, je me suis mise à trainer avec des gens peu recommandables - c'est toujours comme ça que ça commence non ?
On était trois. Un trio d'enfer. Moi, mon mec et son frère. On avait 18 ans et la folie de la jeunesse dans les veines. On jouait aux racailles et à dealer pour se faire un peu de fric. C'était que dalle, et nous, on avait le frisson de l'adrénaline. L’adrénaline... Je crois que c'est elle qui nous a rattrapé la première. Son frère, on l'a retrouvé un matin. OD ils ont dit. Mon copain, il ne s'en est jamais remis. Un an plus tard, il s'est collé un gun dans la bouche et il a appuyé sur la gâchette.
On était trois. Un trio d'enfer. Moi, je suis toute seule maintenant. J'ai repris le flambeau, fait grandir le business, et me voilà à tenir une bonne partie du réseau de dope de l'Est.
Et derrière l'écran
Pseudonyme : Call me Kalis ;)
Comment as-tu connu Mayaku ? Une petite longue histoire.
Le forum te plaît ? ♥
Tu veux nous parler d'autre chose ?Je n'ai toujours pas vu le dernier Wolverine !
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